Chemins de retour vers Soi. Textes de réflexion, de méditation, d'intériorisation.
8 Juillet 2021
Extrait d'un éditorial d'Albert Camus, "Le procès de la liberté", 2 décembre 1955 : "Une majorité de Français voient le bonheur dans l'absence de maladie. Quatre Français seulement sur mille mettent la liberté au rang du bien suprême. Servitude et bonne santé, voilà le slogan de demain. Pourquoi s'en étonner ? La liberté est la grande calomniée du vingtième Siècle. Bafouée par les uns, trahie par les autres, elle meurt au milieu d'un cercle de docteurs ricanants."
Nous assistons actuellement à un enchaînement de mesures totalitaires afin de contraindre les personnes à prendre des décisions qu'elles savent au fond d'elles dangereuses, comme accepter l'injection de produits en phase expérimentale. Une propagande médiatique incessante, fondée sur la peur et la désinformation sur les traitements existant contre la maladie, des décisions politiques liberticides et absurdes, caractéristiques des régimes dictatoriaux, mènent la population à une perte de tout bon sens, à une folie hypocondriaque, à un délire qui fait perdre tout contact avec la réalité des choses, avec l'évidence. Nous sommes entrés dans une spirale auto-destructrice sur les plans biologique et psychique. Il est encore temps d'en sortir et de se comporter selon sa conscience.
Cette pression sanitaire actuelle n'est pas une préoccupation superflue, que celui qui est engagé sur le chemin spirituel balaierait comme un épiphénomène sociétal. Derrière se cache un combat spirituel qu'il ne faut pas déserter, dont la finalité est la conquête de la vraie liberté et la victoire de la vie sur la mort par le chemin de l'Amour.
Nous vivons dans une des périodes les plus importantes de l'histoire de l'humanité. C'est un temps de transformation radicale. Nous devons nous consacrer de toutes nos forces à travailler librement à l'éveil de notre conscience afin qu'elle réalise sa nature sublime de Conscience Cosmique.
Peter Deunov : "La Vérité ne peut descendre jusqu'à l'homme, mais elle envoie la Liberté".
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